La vanne de régulation de la série 800 la plus simple est celle qui affiche la configuration marche/arrêt. Cette vanne marche/arrêt hydraulique à membrane Nelson peut être automatisée facilement et à peu de frais, contrairement aux vannes papillon ou aux robinets-vannes. Elle est conçue pour s’ouvrir et se fermer en douceur, et est donc moins susceptible d’être ouverte/fermée trop rapidement par erreur et de provoquer des coups de bélier, fait courant des vannes manuelles traditionnelles. De plus, les vannes papillon et les robinets-vannes traditionnels sont connus pour se gripper au fil du temps, tandis que les vannes Nelson sont actionnées via un simple sélecteur manuel facile à utiliser et qui ne se grippera jamais.
La vanne est commandée par un sélecteur manuel à trois voies (ouverture/fermeture/auto) qui permet de l’ouvrir ou de la fermer complètement. Lorsque le sélecteur est placé sur la position « AUTO », le solénoïde électrique déclenche l’ouverture ou la fermeture automatique de la vanne. Lorsque le sélecteur manuel est placé sur la position « OUVERT » ou « FERMÉ », la commande « AUTO » est neutralisée. Le sélecteur manuel peut être utilisé pour maintenir la vanne partiellement ouverte : laissez-la s’ouvrir partiellement et placez ensuite le sélecteur à mi-chemin entre les positions « OUVERT » et « FERMÉ ».
Dans la configuration standard, le solénoïde électrique à trois voies doit être sous tension pour ouvrir la vanne et hors tension pour la fermer. Ainsi, toutes les vannes de commande Nelson sont livrées de série « normalement fermées », ce qui signifie qu’elles nécessitent de la pression pour s’ouvrir. Lorsqu’elles sont configurées avec un solénoïde, les vannes peuvent être paramétrées pour être « normalement ouvertes ». Dans ce cas, la vanne s’ouvre lorsque le solénoïde est hors tension.
Veillez à utiliser le bon solénoïde pour assurer la compatibilité avec le programmateur et la taille de la vanne. Consultez le document ressource consacré aux solénoïdes pour connaître les caractéristiques complètes.
